Encore un grand merci !

Le 25 mars, Jean-Luc chantait pour Léa, une petite fille de 5 ans atteinte du syndrome de Kabuki. Elle nous envoie ce petit mot :

Je tenais une nouvelle fois, en mon nom et celui de tous les enfants atteints du syndrome de Kabuki, à vous remercier pour votre présence et votre soutien lors du repas spectacle qui a eu  lieu le 25 mars à la salle Ar Stivel. Merci à l’association « Les amis de Franck » pour l’ organisation parfaite, merci à tous mes copains et copines d’école, merci à tous mes voisins, merci à l’équipe loisir de la Saint Pierre, merci à Mr le maire et à la municipalité, merci à tous les commerçants de Milizac d’avoir accepté les affiches (et plus) et bien sur…un grand merci à Jean-Luc Roudaut.

 Et n’oubliez pas : « Kabuki c’est pas grave ! »

 LEA

 Gros bisous à tous

Comments

[Valerie]

Bonjour Jean-Luc, on s'est déjà croisé plusieurs fois, mais tu ignores qui je suis, peut être que simplement mon visage te dirait quelque chose!!! En fait, j'ai passé toute mon enfance à Plouguerneau, évidemment j'avais une bande de copain et on te connaissait de vue, on te croisait en disant : "t'as vu c'est Jean-Luc ROUDAUT!!!", ben oui tu es une star!!!! Et voilà, je me suis éloignée de chez moi pour mon travail, je ne vois plus ma bande de copains, ni le phare de l'île vierge, ni tout ce qui à fait mon enfance, mais j'y pense, souvent, très souvent, en espérant un jour y retourner, peut être... Etonnemment je suis allée sur le site "Référencer votre blog", je l'avais fait il y a quelque temps de cela, et j'ai voulu voir qui était référencé, et en n°55, c'était le tien!!! comme quoi le hasard parfois!!! Bravo pour ce que tu fais, et bonne continuation (je crois même me souvenir que je t'avais croisé avec mon chéri lorsqu'il y avait eu une pollution sur nos plages, on était en vacances et on était alors en train de se promener au vougot, immatriculé en 78, forcément on ne pouvait pas savoir que j'étais bretonne, mais on avait discuté un peu) bonne journée ;-)

[JLR]

Salut Valérie,


Ravi de avoir que tu n'a pas oublié ton enfance bretonne. Si tu passes un de ces jours en Bretagne et que je suis en concert, n'hésites pas à venir me voir, nous pourrons discuter.


Kenavo ar c'hentan